Lorsque la nature reprend ses droits
Nul ne peut sans doute lui faire face,
L’homme si présomptueux doit laisser place
Par moments aux éléments de l’effroi.
Le monde crée ses héros en chemin,
Les instituteurs pour le dix-neuvième
Puis les militaires pour le vingtième
Et aujourd’hui les chercheurs de vaccin.
Désormais l’âge des hippies est loin
Où s’exprimait dans les rues, la colère
Et dans les prairies, l’amour sans guêpière
Tous dehors à se rouler dans les foins.
Vivre chaque jour entre quatre murs
Ou mourir demain entre quatre planches,
Un bien triste dilemme qui s’épanche
Sous un ciel soudain, qui devient obscur.
Ne plus pouvoir se tenir par la main
Preuve qu’il faille tenir la distance,
Une dure vérité sans nuance
Mais c’est l’espoir d’un meilleur lendemain.
S’il rencontre ce pernicieux fléau
Chacun dans l’arène devra descendre,
Jusqu’à réduire ce virus en cendres
Le duel d’une vie pour sauver sa peau.
Nul ne peut sans doute lui faire face,
L’homme si présomptueux doit laisser place
Par moments aux éléments de l’effroi.
Le monde crée ses héros en chemin,
Les instituteurs pour le dix-neuvième
Puis les militaires pour le vingtième
Et aujourd’hui les chercheurs de vaccin.
Désormais l’âge des hippies est loin
Où s’exprimait dans les rues, la colère
Et dans les prairies, l’amour sans guêpière
Tous dehors à se rouler dans les foins.
Vivre chaque jour entre quatre murs
Ou mourir demain entre quatre planches,
Un bien triste dilemme qui s’épanche
Sous un ciel soudain, qui devient obscur.
Ne plus pouvoir se tenir par la main
Preuve qu’il faille tenir la distance,
Une dure vérité sans nuance
Mais c’est l’espoir d’un meilleur lendemain.
S’il rencontre ce pernicieux fléau
Chacun dans l’arène devra descendre,
Jusqu’à réduire ce virus en cendres
Le duel d’une vie pour sauver sa peau.